Réflexologie Vectorielle

La Réflexologie Vectorielle

Jean-Paul Barbier (1943-2009)
fondateur de la réflexologie vectorielle

Dès 1990, Jean-Paul et Joëlle Barbier établissent une nouvelle cartographie des organes sur le pied. En s’appuyant sur la cartographie d’Eunice Ingham des zones malades et leurs diverses expériences, ils mettent en évidence les zones dites « réflexes » et contribuent au développement de la théorie des points réflexes.

Chaque organe se retrouve sur le pied suivant l’organisation somatotopique du corps et présente un point réflexe. En stimulant les différents points, le praticien obtient une réponse lui indiquant le taux d’engorgement de toxines.

Se basant sur la notion de circulation d’énergie et s’inspirant de l’énergétique de la Médecine Traditionnelle Chinoise, Jean-Paul Barbier définit des trajets ou vecteurs au travers lesquels la circulation sanguine et lymphatiques se fait. Les vecteurs s’unissent les uns aux autres pour atteindre l’exutoire final de la zone.
En plus de stimuler les points et les zones en vue d’obtenir un soulagement voire une guérison, les trajets vecteurs visent à faciliter l’évacuation des toxines en les renvoyant vers les organes éliminatoires (foie, rein, intestin, peau et poumons).

Pour pratiquer la réflexologie vectorielle, le thérapeute a besoin de la pleine participation du « patient » durant le soin. Ainsi, une relation d’échange se met en place, une sorte de question-réponse qui garantie l’efficacité du soin. Avec cette vision, la réflexologie plantaire sort de la notion passive du soin de Bien-Être pour passer à une notion active de Médecine Intégrative à part entière.

La Réflexologie Vectorielle est née.